mes écrits pour le théâtre et le cinéma

De la cour d’école à l’age adulte, des amis se séparent et se retrouvent. Les sentiments s’en mêlent, entre taquineries enfantines, quiproquos et malentendus, jouant quelques tours à leur amitié. Ils leur faudra bien s’accorder pour que la musique prenne.

Les filles s’ennuient dans leur chambre, insatisfaites de leurs robes et poupées ; les garçons sont las de leurs jeux vidéos. Une visite au grenier les conduira à faire une découverte extraordinaire, magique, les propulsant sans un monde imaginaire dans lequel ils devront mettre leur ressources en commun pour accéder à un merveilleux trésor.

La famille Babouchka attend Jordan, le fiancé de La fille, qui ne vient pas et ne donne pas de nouvelles. S’en suivent inquiétudes, puis soupçons, critiques et accusations. La tension monte au sein de la famille, les non-dits surgissent, révélant des secrets inavouables.

Il était une fois un manoir gouverné par deux sorcières. Or les gens du villages, absorbés par leur quotidien, n’allaient plus dans la forêt. Alors, entretenir des relations de bon voisinage avec les sorcières et autres créatures s’avérait compliqué. La vie au manoir, devenue un mystère, se repliait sur elle-même. Et les mystères représentent souvent une menace à la quiétude de chacun.

Aujourd’hui c’est l’anniversaire de la Princesse. Toute la cour se précipite au palais, mais la princesse se fait désiré. Viendra-t-elle ou ne viendra-t-elle pas ? Et puis … tous les invités sont-ils mus par les meilleures intentions ? Jalousie et convoitise viendront -t-elles troubler la fête ?

Il est 11h20, le 17 juin 1907, quand Eugénie Pounard, domestique au château De Bernis, pousse un cri d’horreur. Dans le petit salon, le corps du comte git, là, inerte, au sol, la langue pendue et les yeux exorbités. Il est bien mort, lui qui devait se marier le jour même ! Vengeance, complot, trahison ; quel obscur mobile avait poussé les ennemis du vieux juge à commettre cet acte horrible ?

Alceste Dupont confie au public les événements abscons qui lui ont faire prendre conscience de sa connerie chronique. Au travers de ses recherches, il dresse un tableau sociologique sauvage de notre civilisation et nous raconte l’histoire de la bêtise, depuis la nuit des temps.

Spectacle co-écrit en collaboration avec Daniel Caran.

Quiproquos, dialogues de sourds, convoitises ou encore rêves d’enfants, joies naïves et réflexions philosophiques, constituent la trame des sketches de Larven, révélant des personnages hauts en couleur et traduisant la mémoire collective véhiculée par les traditions du carnaval et du théâtre populaire.

Spectacle co-écrit en collaboration avec Daniel Caran.

Dans une petite ville, alors que de nouvelles élections approchent, les notables s’organisent pour affermir leur emprise sur l’économie locale. Chacun y va de ses intérêts, les sentiments s’en mêlent, les vieilles querelles resurgissent.

Cette pièce constitue une suite du spectacle "Vautours et Tourtereaux". Les deux pièces peuvent néanmoins être lues séparément.

Dans une petite ville, après une période de récession due à une guerre, les notables organisent les élections municipales pour affermir leur emprise sur l'économie locale. Ils convoitent les terrains des uns, soudoient l'influence des autres. Les vieilles querelles resurgissent. Malgré leurs conflits, tous finiront par se mettre d'accord pour garder le pouvoir.